Marie Annick M’Initie À L’Anal

Après cette première nuit chaude avec Marie Annick dans le lit d’un de ses fils je me suis installé dans la chambre conjugale. Au début c’était étrange mais très vite, elle comme moi n’avons plus du tout pensé à son mari.
Le matin nous trainons au lit ensuite nous nous douchons souvent ensemble et nous sortons profiter du bon air et de la journée.

Les nuits sont tous aussi fantastiques que la première. Le quatrième soir je suis en train de lui bouffer la chatte, plus je le fais plus j’adore ça et elle aussi vu ses gémissements. Elle est à 4 pattes sur son lit, juste au bord, je suis agenouillé, par terre derrière elle, avec mon pouce je joue avec son petit bouton bien gonflé. Elle est tellement cambrée que ma langue rentre et sort sans aucun problème dans sa grotte pendant que mes lèvres jouent avec les siennes.

Je bande comme un fou et avec ma main de libre je récupère des sécrétions de Marie et Annick et me branle avec. Je commence à la connaitre et je sens qu’elle est pas loin de l’orgasme quand soudain elle relève son dos jusqu’à se tenir presque d’autre. Ma bouche quitte, contraint et , sa grotte dégoulinante, je me relève car je pense qu’elle veut que je la prenne mais sa main se pose sur mon épaule et me pousse pour que je reprenne ma position et elle me dit:
« Non continues! »

Avec mes doigts je pars à la recherche de sa fente et quand je la trouve et elle tourne la tête vers moi et ajoute:
« Non pas ce trou! »
Et pour être sur que j’ai bien compris elle pose la tête sur le lit, se cambre et met chacune de ses mains sur une de ses fesses pour les écarter et m’exposer son petit trou du cul. C’est la première fois que j’en vois un d’aussi prêt, ses mains écartent tellement le tout que le petit boulet et un peu ouvert, son trou n’est pas du tout serré et fermé comme je l’imaginais.

Après un moment d’hésitation je tire la langue et je la passe sur toute la longueur de sa raie.

Je m’attendais à ressentir un goût âcre et désagréable mais en fait son cul à le même goût que le reste de sa peau. Du coup sans plus aucune hésitation je commence à la laper. Elle se met à gémir tout doucement et je dois dire que le fait de lui donner du plaisir juste en lapant son cul et presque aussi jouissif que de lui bouffer la chatte.

Je remplace ses mains par les miennes et je plonge ma tête entre ses fesses la langues la première que je pose contre l’entrée de ses entrailles. Je n’ose pas l’enfoncer non seulement parce que je ne suis pas sur du tout que l’intérieur soit aussi propre que l’extérieur mais aussi j’ai très peur de lui faire mal alors je commence par passer le bout de ma langue contre l’extrémité de son boulet anal. Je sens son oeillet, sous ma langue qui tourne autour et qui ce rapproche de plus en plus du point d’entrée, palpiter.

J'ai besoin de reprendre mes esprits mais surtout ma respiration alors je retire ma tête d’entre ses fesses que je maintiens ouverte avec une main. Je suce l’index de mon autre main et je le pointe à l’entrée de ses entrailles. Je commence à y mettre de la pression quand elle me dit:
« Non masse moi un peu d’abord »
J’appuies mon doigt contre son petit trou mais doucement quand elle ajoute:
« Tournes autour comme avec ta langue avant »

Je pose mon doigt à l’extérieur de son bourrelet et je commence à tourner, immédiatement Marie Annick se remet à gémir. Mes cercles sont en spirale et à chaque fois que je m’approche trop du centre je reprends au début. Même si elle gémit de plus en plus, au bout d’un moment elle me dit
« Maintenant pose ton doigt à l’entrée et sans le soulève fait comme des petits cercle pour me détendre complètement »
En me disant ça elle repositionne ses mains sur ses fesses, surement pour ne pas que je sois distrait par autre chose.

Je fais comme elle me demande mais j’ai très peur de lui faire mal alors je ne dois pas appuyer assez puisqu’elle se retourne vers moi, s’assoie au bord du lit et m’enferme dans ses jambes.
Avec ses mains elle att mon visage et me lève la tête pour planter son regard dans le mien avant de me dire:
« Tu n’as pas envie? »
Malgré l’étreinte je fais non de la tête. Elle retire ses mains et ajoute:
« Non, tu n’as pas envie? »
« Non, j’ai envie mais…
« Mais quoi? »
Après un petit silence je finis par lui avouer:
« En fait j’ai peur de te faire mal! »

Elle rigole et me dit:
« Ne t’inquiète pas ce n’est pas un doigt qui va me faire mal surtout après que tu m’es préparée comme ça! »
Elle enferme de nouveau ma tête entre ses mains et pose ses lèvres sur les miennes puis elle ajoute:
« Restes là je vais te montrer »
Je ne bouge pas pendant qu’elle va fouiller dans le deuxième tiroir de sa coiffeuse.

Elle revient avec un tube de pommade et ce qui ressemble à un très grand et gros tube de rouge à lèvres coupé en biseau au bout. Elle s’allonge sur le dos au milieu du lit, devant moi, elle ouvre le tube qui est du gel, elle en met une noisette au bout du gode. Ensuite elle soulève sa jambe droite et avec sa main droite elle le pose à l’entrée de son cul. Elle appuie légèrement déçu, je vois nettement son petit trou s'ouvrir et aspirer le tube en plastique. Une fois que le premier quart est renté elle s’arrête un moment, elle pose son index sur l’autre extrémité et appuie pour que son cul avale ce gode qui doit faire la même taille que deux de mes doigts.

Elle se l’enfonce jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un petit morceau, strié et de couleur différente, qui dépasse. Une fois qu’elle s’est assurer qu’il est bien enfoncer elle retire sa main et baisse sa jambe. Elle reste sur le dos avec ma tête entre ses jambes grandes ouvertes comme pour m’offrir son sexe à lécher, et me dit tout simplement:
« A toi. »
Je ne comprends pas ce qu’elle attend de moi alors pour venir à mon secours elle ajoute:
« Joue avec le gode qui est dans mon cul ».

Je pose ma main dessus et comme je me dit que même s’il y a ni gland ni veines c’est comme une bite mais en plastique je commence à le ressortir puis l’enfoncer de nouveau mais Marie Annick m’arrête pour me demander d’y aller plus doucement.
Je fais donc des mouvements plus lent et plus court très rapidement je l’entends gémir, j’augmente l’ampleur de mes mouvements mais toujours lentement.

Quand son corps commence à onduler j’accélère le rythme de mes mouvements pendant une quinzaine d’allers retours avant de le ralentir de nouveau. Je varie, selon mes envies le rythme de mes mouvements, maintenant je n’ai plus du tout peur de lui faire mal et je commence même à regretté que ce ne soit pas mes doigts qui sont en elle.

Je laisse le gode planter en elle, j’att le tube de gel et j’en enduis 2 doigts. Son corps continue d’onduler, quand mes yeux retourne sur sa croupe je remarque que le tube bouge tout seul dans son cul et qu’il est même en partie ressorti. Avec ma main sèche je joue encore un peu avec le plastique en elle avant de le retirer.

Je pose immédiatement mon index à l’entrée de ses entrailles et je commence à forcer le passage. Je pensais que j’allais sentir plus de résistance mais en fait le cul de Marie Annick avale mon index. Pendant qu’il s’enfonce tout seul je le fais un peu tourner à l’intérieur, ensuite je le fais aller et venir très doucement tout en continuant à le tourner à l’intérieur.

Au bout de quelques minutes je commence à le retirer tout doucement, soudain j’ai la crainte qu’il ressorte plus brun qu’avant mais rien du tout. Cette fois je l’accompagne de mon majeur et mes deux doigts la sodomise tout aussi facilement que tout à l’heure un seul. Très rapidement je n’ai aucun problème à les faire coulisser dans ses entrailles.

Je m’amuse de plus en plus à les faire rentrer et sortir au rythme que je veux et avec la profondeur que je souhaite. Le corps de Marie Annick est pris de spasmes alors je ralentis le rythme pour ne pas être trop brutal mais alors qu’elle pose 2 doigts sur son clito qu’elle commence à le pétrir elle me dit:
« Continues comme avant. »
Un peu audacieux sans encore reprendre le rythme de croisière précédent je lui dis:
« D’accord mais retire ta main »
Elle s’exécute à regret, je me soulève pour caresser mon sexe extrêmement tendu contre le sien mais dans cette position je n’arrive plus à laisser mes doigts dans son cul.
Après plusieurs tentatives ratées elle profite d’un moment ou mes doigts ne sont pas en elle pour se retourner et se mettre à 4 pattes et me précise:
« Prends moi et ensuite tu remettras tes doigts »
Elle me précise qu’elle préfère dans cet ordre.

Je me mets derrière elle en levrette et après avoir caresser mon gland contre l’entrée de sa grotte qui perle de plaisir je m’enfonce d’un coup sec en elle. Je la ramone un petit moment et après avoir remis du lubrifiant sur mes doigts je présente mon index à l’entrée de ses entrailles. Alors que je commence à l’enfoncer en elle sans aucune résistance pendant que mon sexe continue d’envahir et libérer le sien, elle m’arrête et me demande d’en même deux en même temps mais tout doucement.

Je ressors mon premier doigt et cette fois je l’accompagne du majeur sur la rosette. Je commence par lui masser l’oeillet mais trop impatient de voir rempli ses deux trous, j’enfonce mes doigts tout doucement, comme elle me la demandé. J’ai l’impression que son cul est plus serré que dans l’autre position mais j’arrive quand même à la posséder de mes doigts sans problème.

En m’enfonçant un peu plus je bute contre quelque chose de dure et je sens bouger sous mes doigts, je comprends tout de suite que c’est ma bite qui coulisse dans sa grotte. Halluciné par cette découverte j’accentue la pression de mes doigts sur mon sexe et Marie Annick crie de plus en plus fort.

Je suis peut être rester comme ça un peu trop longtemps car je sens ses deux orifices se contracter un autour de ma queue et l’autre de mes doigts. Je les enfonce le plus profond possible et je reste bien planté mais je m’excite encore plus dans sa chatte. Au bout de la quatrième contraction de son vagin autour de moi je n’arrive plus du tout à me retenir et je me déverse en elle.

Quand ses gémissements commencent à redescendre je ralentis le rythme de mon sexe et je recommence à bouger mes doigts mais elle me demande de laisser son cul tranquille. Je fais encore quelques allers retours en elle et je retire ma bite visqueuse de sa grotte inondée mais je ne sais pas quoi faire avec mes doigts alors je demande à ma nouvelle prof de cette matière que décidément j’apprécie de plus en plus.

Comme elle me l’indique je retire d’abord un doigt tout doucement puis l’autre. Son petit trou reste ouvert, comme un devant son nouveau jeu, j’admire le spectacle en lui écartant bien les fesses. je le vois se contracter tout doucement jusqu’à se refermer complètement. Une fois qu’il n’y a plus rien de spécial à voir je pose un baiser sur son oeillet comme je le ferai avec ses lèvres et je libère son cul avant de venir m’affalé sur le lit à côté d’elle.

Elle pose sa main sur mon torse poilu et me caresser un moment avant de marmonner:
« Je te laisse reprendre des forces quelques minutes et après je veux que tu me sodomises mais pas avec tes doigts… »
Je ne sais même pas si elle a finit sa phrase ou pas mais Marie Annick a choisi les bras de Morphée plutôt que les miens. C’est dommage parce que juste l’idée de voir ma queue remplacer mes doigts entre ses magnifiques fesses je me suis remis à bander.

Une vingtaine de minute plus tard je l’ai rejoint au pays des rêves en pensant aux festivités du lendemain…

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